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Communiqué de presse :
AJC ne se présentera pas au conseil communal de ce 11 février 2020.
Explications
Rappel de la situation :
Avec 14 sièges sur 23 contre 9 pour AJC (Anderlues J’y Crois), le PS détient une majorité au conseil communal. Suite à des dissensions internes, un groupe de 4 socialistes semble prendre ses distances vis-à-vis d’un groupe de 10 conduit par le député-bourgmestre d’Anderlues. Devant cette situation, la majorité au conseil communal est menacée.
AJC en gardien de la paix :
Le député-bourgmestre et le chef de la minorité ne souhaitent pas voir des conseils reportés faute de quorum. Ils s’entendent pour assurer un minimum de continuité dans la tenue du conseil communal et éviter tout risque majeur de crise politique.
Le Boulevard de l’Empereur intervient :
Devant le blocage profond au sein du groupe PS, le Boulevard de l’Empereur dépêche des médiateurs chargés de clarifier la situation et éventuellement trouver un terrain d’entente entre les factions du PS. Objectif avoué, conserver le pouvoir dans les mêmes conditions. Entre temps, ordre est donné aux ouailles socialistes anderlusiennes de minimiser la situation devant la population, de ne pas communiquer avec les médias et encore moins avec la minorité AJC.
Le dégoût d’AJC :
Nous n’avons jamais tenté de tirer profit de cette situation de crise chez un concurrent politique ni de l’envenimer. En politique, peu auraient eu un comportement aussi digne. Nous avons démontré que nous plaçons l’intérêt général et la stabilité de la commune en valeurs suprêmes. Cette situation aurait pourtant été une occasion en or d’enfoncer un parti concurrent coupable de ses errements. En échange, le Boulevard de l’Empereur nous crache au visage son manque de respect, son égoïsme, sa soif de pouvoir. Ne pas prendre en considération AJC, donner l’ordre de nous nier est un véritable affront. Avec ses relents dignes de l’URSS, le PS se croit parti unique et tout permis. Puisqu’il en est ainsi, qu’il fasse sans nous ce 11 février. Peut-être notre absence lui permettra de se souvenir que le monde entier n’est pas PS, que d’autres partis politiques existent, qu’il ne peut pas agir comme il le fait dans une démocratie consociative.
Quid pour l’avenir ?
Le PS doit comprendre que sa soif de pouvoir ne peut s’étancher au prix d’une crise politique dont le coût serait assumé par les Anderlusiens. AJC demande que la tutelle du PS rende son rapport et que les décisions qui doivent être prises au sein du PS le soient. AJC demande de l’action et utilisera dorénavant les quelques outils à sa disposition pour ce faire.
AJC ne se présentera pas au conseil communal de ce 11 février 2020.
Explications
Rappel de la situation :
Avec 14 sièges sur 23 contre 9 pour AJC (Anderlues J’y Crois), le PS détient une majorité au conseil communal. Suite à des dissensions internes, un groupe de 4 socialistes semble prendre ses distances vis-à-vis d’un groupe de 10 conduit par le député-bourgmestre d’Anderlues. Devant cette situation, la majorité au conseil communal est menacée.
AJC en gardien de la paix :
Le député-bourgmestre et le chef de la minorité ne souhaitent pas voir des conseils reportés faute de quorum. Ils s’entendent pour assurer un minimum de continuité dans la tenue du conseil communal et éviter tout risque majeur de crise politique.
Le Boulevard de l’Empereur intervient :
Devant le blocage profond au sein du groupe PS, le Boulevard de l’Empereur dépêche des médiateurs chargés de clarifier la situation et éventuellement trouver un terrain d’entente entre les factions du PS. Objectif avoué, conserver le pouvoir dans les mêmes conditions. Entre temps, ordre est donné aux ouailles socialistes anderlusiennes de minimiser la situation devant la population, de ne pas communiquer avec les médias et encore moins avec la minorité AJC.
Le dégoût d’AJC :
Nous n’avons jamais tenté de tirer profit de cette situation de crise chez un concurrent politique ni de l’envenimer. En politique, peu auraient eu un comportement aussi digne. Nous avons démontré que nous plaçons l’intérêt général et la stabilité de la commune en valeurs suprêmes. Cette situation aurait pourtant été une occasion en or d’enfoncer un parti concurrent coupable de ses errements. En échange, le Boulevard de l’Empereur nous crache au visage son manque de respect, son égoïsme, sa soif de pouvoir. Ne pas prendre en considération AJC, donner l’ordre de nous nier est un véritable affront. Avec ses relents dignes de l’URSS, le PS se croit parti unique et tout permis. Puisqu’il en est ainsi, qu’il fasse sans nous ce 11 février. Peut-être notre absence lui permettra de se souvenir que le monde entier n’est pas PS, que d’autres partis politiques existent, qu’il ne peut pas agir comme il le fait dans une démocratie consociative.
Quid pour l’avenir ?
Le PS doit comprendre que sa soif de pouvoir ne peut s’étancher au prix d’une crise politique dont le coût serait assumé par les Anderlusiens. AJC demande que la tutelle du PS rende son rapport et que les décisions qui doivent être prises au sein du PS le soient. AJC demande de l’action et utilisera dorénavant les quelques outils à sa disposition pour ce faire.
